Le jour où je me suis pris pour Chuck Norris.

(Le site est victime de son succès : passé un nombre de visiteurs, des pubs s’affichent. Je n’y peux rien, mon frère ne possède pas d’entreprises vendant des tronçonneuses et je ne touche pas d’argent sur ces pubs).
((J’adore les parenthèses entre parenthèses. C’est très sexuel.))

(Même ici, ils sont là : partie II)
Même ici, ils sont là…

(Anecdote dédiée à tous les gens, du milieu médical ou pas, qui ont eu à composer avec un chef imbuvable (ce qui doit réunir beaucoup de monde !). Je vous ai vengé, modestement mais quand même…)

Alors (re)voilà le bon Docteur O., vous savez, celui qui “n’a rien contre personne” alors qu’en fait il a un peu de tout contre tout le monde. Les noirs, les arabes, les gays, les enfants, les fibromyalgiques, le président normal, etc… Particulièrement les juifs : “en P1, tu as d’un côté les juifs, de l’autre les non juifs. En P2, d’un côté les séfarades, de l’autre les ashkénazes.”
Ha, ha, ha, ha…
Je dois être très bête : je pensais que c’était un concours.
Un jour, il dit :
– Je te laisse deux semaines de vacances.
Joie ! Les jours sont longs avec lui. Au bout de quatre mois de stage, j’en ai gros sur la patate. (“I have got huge on the potatoes !” comme dirait la Queen Elizabeth II).
– Tu sais où tu vas ? fait-il.
Oh ça oui, mon cochon, je sais où…
Bref, je m’envole 10 jours pour Jérusalem. Visites le jour et fiestas toutes les nuits jusqu’au matin (N.B. pour ceux que ça intéresse : les israéliennes n’ont aucun préjugé contre les prépuces).
Effet quantique : je me lève si tôt/me couche si tard que, le dernier matin, je me croise moi-même dans les escaliers de l’hôtel !
À mon retour, plaisir ultime, j’offre un ÉNORME paquet de pâtisseries juives (très) bon marché au chef. Il en a pour trois mois à se régaler. Pas moins.
Je souris, lui un peu moins. Impression fugitive d’être Edmond Dantes dans Monte Christo. Ou Chuck Norris dans “Missing in Action 3” (chacun ses références…).

La vengeance est un plat qui se mange froid ou chaud, je veux dire : la vengeance est VRAIMENT un plat qui se mange froid ou chaud.
Et aussi en pâtisseries.

“Toute vengeance est permise du moment où elle atteint le coupable.”
Alexandre Dumas.

“Je mets les pieds où je veux Little John, et c’est souvent dans la gueule.”
Chuck Norris dans Missing in Action 3.

Si le site vous plait, donnez-nous un coup de pouce : partagez sur Facebook ! C’est juste là, au coin en bas à droite de chaque article ! Et rejoignez nous sur la page Facebook ou sur Twitter à “Alors voilà”….

2 réflexions sur « Le jour où je me suis pris pour Chuck Norris. »

  1. Guili

    Je me souviens d’un repas de service et d’une consœur dont les réflexions antisémites devenaient au bout de quelques mois franchement insupportables. “Tu sais, M.C., tes paroles me blessent. Ma mère est juive, je suis donc juive, et tu me fais beaucoup de peine”. Un bataillon d’anges survola la salle du restaurant, les collègues statiques observaient leur assiette… Je suis 100% goy et je me marrais bien intérieurement.

Répondre à Eva Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *