Merci…

Alors voilà,

Dans le classement de L’EXPRESS des 100 Français et Françaises inspirants au titre de mon travail à vouloir mettre, « des visages sur des vécus et des situations trop souvent réduites à de seules statistiques »

Merci aux lecteurs, lectrices, et à cette nouvelle génération de médecins qui brisera les vieux schémas.

Je vous aime et vous remercie de votre soutien,

Baptiste

PS : désolé de ne pas répondre à vos mails… je n’arrive pas à suivre le travail au cabinet médical et le prochain roman que je suis en train d’écrire (et mes divers engagements dans associations dont je ne parle pas ici)

43 réflexions sur « Merci… »

  1. Florence

    Bonjour Baptiste et merci pour l’information. Je suis très contente que vous soyez dans ce classement car vous le méritez. Vous aidez à changer le monde. Bien à vous. Florence

  2. Emmanuelle

    Bonne nouvelle !
    Personnellement, je trouve très rassurant que l’on vous entende régulièrement sur France Inter et dans les média : les choses vont bouger car ceux “d’en haut” ne pourront plus faire comme si de rien n’était bien longtemps…

  3. cat des montagnes

    C’est mérité Baptiste, et super que la presse ait tenu compte de nos avis de lecteurs … C’est parfois une denrée rare, un vrai reflet ! Félicitations.

  4. Lys18

    Bravo et merci pour vos blogs,tous vos engagements.
    Vous méritez amplement cette distinction et vous avez tous mes encouragements et mon soutien.

  5. Mésange

    Je t’aime* mon Docécrivain pour ces liens improbables que tu crées (certains perdurent si fort…), ces réflexions que tu apportes, ces portes que tu ouvres, tes coups de gueule, tes mises à nu parfois, ta poésie, ta sensibilité…
    Je t’aime parce que ta notoriété ne te fait pas oublier les valeurs que tu souhaitais porter, au contraire tu l’utilises pour les défendre et soutenir ceux qui en ont bien besoin.
    Prends soin de toi, tu le vaux bien !
    *Ceci n’est pas une déclaration énamourée de mésangette à peine sortie du nid mais une affirmation d’amitié indéflectible de mésange aux plumes bien blanches devenue rare sur ce blog mais toujours lectrice !

    1. Marie-Eve

      J’y vois seulement un regard déterminé, du coup pour cette fois j’espère que c’est moi qui ai raison. Triste, ce serait follement injuste !

      1. Anne Courbière

        S’agit-il d’avoir raison ou tort?
        Et en quoi est-ce injuste de sentir de la tristesse?
        Qui n’aurait rien à voir avec la situation…

  6. Mélusine

    Félicitations, c’est mérité 🙂 Bravo pour tout ce que vous accomplissez et merci pour votre blog plein d’humanité.

    Ps. Les mails de lecteurs, c’est loin d’être une priorité dans la vie quotidienne bien remplie, je suis sûre qu’on le comprend tous, alors ne vous en faites pas.

    1. Baptiste Beaulieu Auteur de l’article

      BONJOUR !
      Je ne pas le faire, car je n’ai pas votre mail.
      Vous pouvez vous desinscrire de la même manière que vous vous êtes inscrite… en bas de la page, dans le formulaire de désinscription.
      Bien à vous,
      Bonne journée

    2. Cath

      En haut, à droite de l’écran quand vous ouvrez la page du blog, sous le beau rectangle qui dit « recevez les dernières publications », vous entrez votre email et vous cliquez ensuite sur le petit rectangle qui dit « se desinscrire ». Et vous recevrez un mail qui vous dira quoi faire.
      C’est très s simple.
      Et j’ajouterais qu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même.

  7. Valentine

    Vous êtes merveilleux! Je suis tellement contente de savoir que je vis sur la même planète que des gens comme vous! Vive les colibris

  8. Céline Valenza

    AUGURONI BAPTISTE ! ALLEGRIA !
    La reconnaissance de vos pairs, de vos “soignés”, de vos lecteurs, vous était déjà acquise.
    Voici celle de la Presse, en la personne de l’Express 🙂
    Il est des nouvelles qui réjouissent, ce Top 100 en fait partie, cos’ you worth it !
    UN IMMENSE BRAVO !
    Céline

  9. hervé cruchant

    Bibi, c’est un vrai médecin, un vrai écrivain, un véritable humain : il ne dit jamais tout mais n’en pense pas moins. Tiens, regarde bien le coup qu’il est en train de réaliser, l’Artiste : enfoncer un coin dans l’institution des “corrects” sans se faire virer comme un boyscout qui viendrait quêter à ta porte ou te vendre le calendrier illustré des joyeux internes de l’hôpital d’Auch tous à poil et sans complexes. Adopté, le trentenaire rasé de frais, sourire est-ouest, regard aimant. Recherché, l’humaniste sans frontière, qui fumerait peut-être bien un petit taf si Petit Taf était de mise avec un accent du port d’Amsterdam où les frites et les moules et le vin de Moselle revient en plus. Capable de te dire qu’il est content de te revoir après tant de temps et tant de gens; et que tu y crois parce que c’est vrai. T’as pas besoin de l’inviter à prendre la route, à ce Bibi là. Il a déjà parcouru mille mondes, mille univers. D’où il a rapporté des histoires et des images indescriptibles. On dit même qu’il s’est fait tatouer la carte du bonheur à l’intérieur de la tête; comme çà, quand il se repose, il voit l’infini plein d’étoiles sur l’écran de ses paradoxes. Voilà donc Bibi sur le chemin de la statue équestre sur une place de village. Je vois bien une rue Bibi, une avenue Bibi. Un bar “Chez Bibi” où les piliers s’échangeraient des souvenirs et des tuterappelleslafoisoù… bien possible qu’il nous fasse une légion d’honneur vers la mi-course, le mâtin !
    Alors, voilà aujourd’hui une marche vers la gloire. Et çà me fait bien rire en douce, voyez vous; je sais le promu un peu gauchiste, un brin libre penseur, angoissé comme un capitaine grec sur une Egée comme au bon vieux temps des Cyclopes et des noms de Zeus : pas trop mais juste ce qu’il faut. Faudrait pas en faire toute une histoire. C’est ce côté marge qui me plait. Je m’y retrouve. Il écrit pleine page et je note les entre-les-lignes sur le grain du papier comme on gratte doucement la peau d’un amour qui dort. Voilà, Bibi, ce que je pense de tout çà. Si tu as le temps, échangeons un regard à travers la salle surchauffée dans laquelle tu prodigues tes dédicaces. Tu es là. Je te vois. Tu vas finir par devenir indispensable, si çà continue.

  10. martine fric

    cela fait tellement ricochet à ce que l’on vît parfois, on donne tant aux autres et on voit bien qu’on est remplaçable dans l’heure qui suit….je ne suis pas médecin mon cher Baptiste mais comme je te comprends parfaitement !!!! vivement ton prochain livre….mon admiration éternelle (eh oui j’y crois….)

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